Le bien
Trois enfants, trois amis, s’en allaient à leur classe.
«Si je travaille bien, mon père m’a promis, dit l’un d’eux, un louis.»
Le second des amis dit: «je travaillerai pour que maman m’embrasse. »
Le dernier soupira: «pour moi, je n’aurai rien, car je suis orphelin, je n’ai
père ni
mère; mais je m’efforcerai cependant de bien faire. Il faut faire le bien parce que c’est le bien.»
Ratisbonnb
Surce: DEVINAT. E, Livre de lecture et de morale, éd. Tous prix, Paris, P .54