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  • 17/1/2009
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Front antisioniste: justice et pureté contre impureté du compromis avec la barbarie

Sommaire:

Dénonciation ou collaboration

Sevrage occidental vis-à-vis de la propagande sioniste et sevrage sioniste de l’appui occidental

   Le peuple martyr de Gaza paie cher son désir de liberté et d’indépendance. L’ogre sioniste ne peut en effet supporter la pureté de la résistance palestinienne car il ne peut vivre que dans l’impureté, la collaboration, le compromis.

Les sionistes n’aiment pas les purs, ils les trouvent trop transparents, trop clairs, trop justes, il leur faut au contraire des corrompus, des pervers, des gens capables d’accepter l’existence de ceux qu’ils sont invités à reconnaître.

   C’est pourquoi il est nécessaire de couper tout lien avec l’entité sioniste, au niveau diplomatique, économique et politique et tous les pays, toutes les associations, tout média doit absolument rompre tout lien avec ce régime criminel et corrompu, sous la forme d’un embargo, de rupture des relations diplomatiques de la même façon que l’on met un malade dangereux en quarantaine. 

nihilisme de la barbarie sioniste

Dénonciation ou collaboration

   Il n’est pas question ici du caractère barbare des actions sionistes, car celui-ci est une donnée constante de l’histoire sioniste. La barbarie sioniste trouve sa source dans le caractère laïc de ce régime, mais les extrémistes trouvent également une justification supposée religieuse, dans les passages falsifiés de la Thora appelant à l’anathème des non-juifs (c"est-à-dire leur destruction pure et simple).

Cette barbarie s’illustre dans les crimes contre l’humanité et le génocide permanent perpétrés par les criminels sionistes depuis que les occidentaux leur ont fourni un armement à partir de 1917.

   Il est souvent demandé si les Protocoles des Sages de Sion a été conçu par le Congrès juif mondial, ou s’il est un faux confectionné par les services du Tsar, comme le prétendent les unités de la propagande sioniste. Comme le précise une série d’articles publiés par Henri Ford sur l’internationale juive, intitulé International Jew: the World’s foremost problem, l’important n’est pas de savoir si les protocoles sont un pamphlet forgé ou un compte-rendu détaillé de réunions tenues par les responsables sionistes de la fin du 19ème siècle en Europe de l’Est, l’important est de savoir en quoi il éclaire le passé, le présent et le futur, de la même façon qu’Orwell dans ses romans – 1984 par exemple, ou Kafka, ont jeté un regard pertinent sur la société qui les entourait.

essai sur l’influence de l’internationale juive sur la scène internationale

   Il s’agit ici d’avoir un regard critique littéraire sur ces œuvres et d’en tirer des conclusions sensées sur ce qui nous entoure. S’agit-il de conspirationnisme, c"est-à-dire une tendance maladive à imaginer dans un rapport normal de forces politiques, une conspiration dirigée par un cerveau au centre du dispositif, capable de manipuler toutes les composantes d’un système politique, fussent-elles en apparence opposées l’une à l’autre? Non. S’inquiéter pour la paix internationale et s’informer des centres de pouvoir qui font les décisions n’est-elle pas au contraire une démarche citoyenne digne de louange, dans la mesure où c’est là une condition essentielle du mécanisme démocratique, qui fonde le processus de décision publique sur l’information précise et impartiale des faits? Mais l’on connaît l’origine des peurs que suscite la curiosité des citoyens consciencieux, désireux de comprendre comment fonctionnent les puissants: en effet, la clandestinité et l’opacité riment avec la déresponsabilisation et enfin, l’immunité. Et quoi de plus doux aux criminels professionnels que l’immunité? S’agit-il alors d’antisémitisme ? D’abord, l’antisémitisme est un terme racial déplacé car il englobe les tribus issues de Sam ou Sem, c"est-à-dire les arabes actuels. En quoi l’antisionisme constituerait-il de l’antisémitisme? 

juif hassidique antisioniste

   En quoi les arabes devraient-ils détester leurs ancêtres? Ce qui est visé par le concept d’antisémitisme utilisé par la propagande sioniste, devrait plutôt s’appeler de l’antijudaïsme, c"est-à-dire une inimitié profonde pour la religion juive. Or, on sait très bien que s’opposer aux enseignements d’une religion ne s’apparente pas à une hostilité haineuse envers ses croyants. C’est là en tout cas le discours permanent que tiennent les puissants envers l’Islam et les musulmans. Mais plus que tout, un croyant musulman ne saurait s’opposer aux enseignements du prophète Moise, paix sur lui, car il s’agit bien des enseignements du Tout Puissant destinés à l’ensemble de l’humanité et non pas à une race particulière ou à un prétendu « peuple élu».

L’antijudaïsme est un positionnement idéologique, s’il existe, injustifiable pour un musulman, puisque l’histoire des prophètes, en particulier du sceau de la prophétie, Muhammad ibn Abdallah, paix sur lui et sa pure famille, démontre la bonté et la magnanimité témoignées à l’égard des juifs.

   Qu’il existe un ressentiment latent suite aux événements historiques que certains juifs eurent, pharisiens ou autres, envers le prophète Jésus fils de Marie ou Moïse lui-même, paix sur eux deux, à l’instar d’autres prophètes de Dieu, ne justifie pas pour autant que l’on s’en prenne aux enseignements de Moïse paix sur lui. Par conséquent, autant la dénonciation des crimes contre l’humanité commis par la machine de guerre sioniste contre la population palestinienne ne peut s’assimiler à de l’antijudaïsme, comme le rappelle courageusement le mouvement juif hassidique et antisioniste « Natura Karta», régulièrement invité à échanger leurs idées avec les universitaires iraniens ou révisionnistes européens, sur le thème de l’antisionisme lors de conférences, autant comprendre le rôle politique joué par les sionistes dans le processus de décision politique au niveau national et international constitue un sujet d’étude légitime, pour déterminer dans quelle mesure ce processus est favorable ou non à leurs positions.

opposition du rabbin dushinsky à la création de l’entité sioniste par l’onu

   Il est sûr que l’on ne peut comprendre ce qui se passe aujourd’hui à Gaza, dans l’impunité la plus totale au niveau de la communauté internationale, sans savoir ce que représente aujourd’hui le lobby sioniste en termes de pouvoir et d’influence. C’est à ce niveau que se pose la question de la responsabilité des média, qui n’ont manifestement pas joué leur rôle en couvrant les activités, quelquefois criminelles, d’un puissant lobby sioniste dans différents pays, d’abord sur le thème de la neutralité diplomatique, puis sur le thème de la connivence, enfin, et c’est la dernière étape, sur le thème d’un alignement total avec les thèses prônées par l’appareil militaire israélien, en contradiction totale avec les intérêts supérieurs de la nation qu’ils sont sensés servir.  

jeunes martyrs palestiniens à gaza

Sevrage occidental vis-à-vis de la propagande sioniste et sevrage sioniste de l’appui occidental

   Le sevrage est l’étape constituée par le passage par le nouveau-né d’une situation où il était nourri par le lait de la mère à une situation où il se nourrit d’une nourriture venant d’autre part que de la poitrine maternelle. L’Occident est la mère de l’entité sioniste et l’entité sioniste se considère comme son bébé.

Le problème existentiel de l’entité sioniste vient de ce qu’il est incapable de s’en détacher. L’entité sioniste est un intrus dans le monde arabo-musulman et n’a pas su, ni à ses origines, ni par ses actes, se faire reconnaître par ses voisins et le fait que sa légitimité morale et légale n’est pas établie, ni reconnue ajoute encore au fait que ses agissements criminels envers le peuple palestinien ont définitivement tué dans l’œuf toute possibilité de cohabitation.

   Du côté occidental, il y a le double-piège de la mémoire et du rapport à l’autre, tout deux habilement exploité par l’insider sioniste. Le piège de la mémoire est constitué par l’antijudaïsme prêté au christianisme et aux événements historiques qui l’ont accompagné, et qui culmine avec le thème de l’holocauste. Mais au lieu de favoriser la recherche dans ce domaine et de bénéficier d’un débat serein sur le thème, la puissance publique s’est contentée d’asséner des vérités historiques du haut du magistère professé par une sorte de Ministère de la Vérité historique, et cela a alimenté toute sorte de persécutions et de frustrations, si bien que la haine et l’incompréhension se sont durablement installées. Quant au rapport à l’autre, il s’agit plus précisément d’un enjeu civilisationnel qui pousse l’Occident à avilir autant que faire se peut la civilisation islamique.

la prise de szigetvar par les turcs en 1566

   L’entité sioniste est le mercenaire destiné à accomplir cette mission stratégique au nom du judaïsme et c’est là où se trouve la tragédie pour les juifs aujourd’hui, pris en tenaille entre un projet impérialiste et colonialiste drapé des oripeaux du messianisme juif et l’appartenance à une religion trahie par le projet sioniste. Quand on connaît le prix payé par l’Occident pour soutenir le projet sioniste, on se fait une idée approximative de l’importance qu’il revêt aux yeux de leurs promoteurs.

Deux thèses s’affrontent alors: on considère soit que l’Occident est un bateau sans capitaine, dirigé par une cohorte de lobbys sionistes malveillants, soit que la culture occidentale est réellement imprégnée d’un sens de la mission consistant à affaiblir voir détruire la civilisation musulmane.

   Or, la réalité est un mélange de ces deux thèses mais ne peut se réduire à cette description négative. Il y a en effet, en Occident, des forces, des idées accompagnées des gens qui les représentent, qui désirent réellement réformer leur nation respective et qui sont prêts à couper le lien malsain qui s’est progressivement solidifié entre la politique occidentale et l’entité sioniste. Il faut savoir que le sevrage de l’entité sioniste par ses protecteurs occidentaux ne pourra avoir lieu qu’au travers d’un long et douloureux travail de mémoire, mais aussi d’une psychanalyse sincère de la part des politiciens occidentaux. La stratégie de la rémora évoquée plutôt tend en effet à mouiller les politiciens en diluant les responsabilités, si bien que tout le monde devient coupable. Tout innocent, c"est-à-dire une personne non coupable d’avoir pactisé avec l’entité sioniste ou d’avoir trempé dans ses crimes contre l’humanité, sera perçu comme un ennemi potentiel. C’est pourquoi il est impératif de conserver sa pureté en évitant tout contact avec la rémora sioniste, qui cherche par tous les moyens à obtenir des preuves de collaboration avec elle, se sachant elle-même la première source d’opprobre et d’avilissement de l’humanité contemporaine.

prix nobel de la paix elie wiesel, le pur sioniste du systèmeprix nobel de la paix elie wiesel, le pur sioniste du système

Sources:

http://www.archive.org/details/internationaljew01dear

http://jewsagainstzionism.com/

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